Essentiel afin d’enrayer la propagation du Coronavirus COVID-19, le confinement est, pour la plupart d’entre nous, une situation inédite.
Notre logement est devenu, pour un temps, l’épicentre de nos activités : école à la maison, télétravail, sport et jeux d’intérieur… vident de leurs occupants écoles, bureaux, entreprises, salles de sport, plaines de jeux… Notre logement affiche « complet ».
Afin que « confinement » ne rime pas avec « air confiné », profitons de cette période pour nous interroger et nous informer sur la manière d’optimiser la qualité de l’air intérieur de notre logement :
- ne pas fumer à l’intérieur, choisir des matériaux et produits peu émissifs (pour l’entretien, la décoration, l’ameublement, le bricolage…)… sont des gestes de prévention de la pollution de l’air intérieur ;
- un système de renouvellement d’air bien conçu, installé et entretenu remplira efficacement son rôle : amener de l’air neuf à l’intérieur et évacuer à l’extérieur les polluants et l’humidité que nous n’aurons pas pu éviter à l’intérieur ;
- ouvrir les fenêtres en grand pendant 10-15 minutes 1 à 2 fois par jour contribue également à la bonne qualité de l’air intérieur.
Relever le défi d’une bonne qualité de l’air intérieur concerne toute la chaîne des acteurs impliqués dans les projets de construction/rénovation des logements, depuis les concepteurs du projet (architectes, bureaux d’étude) jusqu’aux occupants, en passant par les corps de métiers sur le chantier et les professionnels de la maintenance.
Profitons « du ralenti » engendré par notre confinement pour prendre soin de nos proches et de la qualité de l’air dans les logements !