Dans cet article, l’Institut National de Santé Publique Québec (INSPQ) revient en premier lieu sur le comportement du virus dans l’air intérieur, en s’appuyant sur les études scientifiques récemment menées sur le sujet. L’INSPQ détaille dans ce cadre la persistance du virus dans l’air. Ensuite, l’Institut revient sur les paramètres environnementaux qui peuvent favoriser la viabilité du virus, ici encore en s’appuyant sur les études scientifiques récentes. Il semblerait ainsi que plus la température est élevée, moins longtemps le virus survit dans l’environnement. En revanche, selon les régions du monde, l’influence de l’humidité relative semble variable. L’INSPQ traite également dans son article de la survie du virus sur les surfaces, ainsi que de la potentalité d’être contaminé par le biais de la ventilation. En plus de ces analyses sur la survie du virus, l’Institut donne plusieurs recommandations pour adapter ses comportements et ainsi se protéger au mieux du virus. Pour une partie, ces recommandations concernent l’usage et l’entretien des systèmes de ventilation.
Pour consulter l’article de l’INSPQ, cliquez ici.